Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n’est réel. Les personnages irréels de ce texte sont tous consentants à y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leur vie inexistante sans aucune séquelle ni blessure. Un peu comme n’importe quel personnage imaginaire d’un livre, d’un conte, d’une nouvelle…
Ce texte étant quand même très très violent, je ne le recommande qu’aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après, si c’est pour commenter que ce texte est violent, voire très ou trop violent, que cela se termine mal, que cela vous choque, que c’est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire.
Il est réservé à un public majeur, tous les personnages sont majeurs. Il contient, suivant les chapitres, toutes les perversions les plus abjectes de la zoophilie à ce que vous pouvez imaginer de pire. Donc, si vous n’aimez pas ça, ne lisez pas. Après, ne venez pas dire que je ne vous avais pas prévenus.
Pour les amateurs du genre et mes fans, je vous souhaite bonne lecture.
Vendredi 11 mai 2018.
Naira habite dans le Sud de la France. On est vendredi soir, elle est là, sur les hauteurs de Cannes, dans la voiture de Franck, son petit ami depuis quelques jours. Depuis onze jours, pour être précis, ils sont sortis ensemble le jour des dix-huit ans de la jeune femme. Pour elle, il est l’homme parfait. Beau, sportif, intelligent. Mais surtout, il est prêt à attendre le mariage pour coucher avec elle. Ce qui n’est pas pour demain, elle compte faire des études dans la finance. Le cursus dure au moins cinq ans, plus probablement sept. Jusque là, il ne se passera rien entre eux. Rien de trop sexuel du moins. Pas de sexe, pas de fellation, même pas de masturbation ou de touchage de seins. Des baisers avec la langue, rien de plus.
Franck a vingt ans, c’est un gentleman. Naira ne le connaît que depuis un mois, mais c’est suffisant pour qu’elle lui accorde toute sa confiance, il le lui a prouvé à maintes reprises. Par de petites attentions, par de longues discussions. La jeune majeure en est folle amoureuse. Lui aussi, elle le sent, elle le sait. La jeune femme ne se trompe jamais sur les gens : avec Franck, tous les curseurs sont au vert. Ils vont passer le week-end ensemble. La jeune femme vit chez ses parents, qu’elle ne voit quasiment jamais. Bossant entre la France et le Canada, ils ne sont ici qu’une dizaine de semaines par an. Là, ils viennent de partir pour trois mois à Montréal puis à Toronto.
Le père de Franck, quant à lui, est très proche de son fils. L’homme est immensément riche. Il est directeur général d’une grande société internationale en plein développement qui lui verse chaque année des millions en dividendes. Malgré ce travail chronophage, il a toujours trouvé du temps pour son fils, au contraire des parents de Naira, pourtant beaucoup moins riches.
Franck a fait les choses bien, il est venu la chercher à quatorze heures pour aller à Cannes. Les deux vivent à Antibes. À aucun moment il n’a demandé à passer le week-end chez Naira ou chez lui, dans son immense villa, cadeau de son père dont il est le fils unique. Au lieu de cela, il a réservé une chambre avec deux lits dans le plus beau palace de Cannes. Mais cela, Naira le savait avant, il lui a demandé si elle préfère dormir pour ce week-end en amoureux chaste, dans une chambre à deux lits ou dans deux chambres séparées. Naira aurait pu lui répondre qu’elle est prête à dormir dans le même lit que lui, tant elle lui fait confiance. Mais, au vu de la joie du jeune homme en lui proposant cela, elle a préféré ne rien dire. Elle le fera pour le prochain week-end qu’ils passeront ensemble.
C’est la seule chose qu’il ait dite pour le week-end. Pour le reste, il lui a promis que ce serait un vrai petit séjour de Princesse auquel elle aurait droit. Naira n’a jamais douté qu’il ferait ce qu’il dit, Franck le fait toujours. Il dit, il fait, ou alors il ne dit pas… Le début est merveilleux. Après un repas dans un restaurant étoilé, ils sont allés poser leurs affaires dans le palace. Puis une journée dans un SPA de luxe, avec massage et tout. Le soir, c’est un dîner dans un restaurant, là encore étoilé, mais très romantique, auquel la magnifique Naira a eu droit.
C’est qu’elle est belle, la Naira, même plus, magnifique, hypnotisante, à rendre fou de désir pour elle le plus dur des gays. Elle est le fruit du métissage parfait d’une mère algérienne et d’un père français. Grande pour une femme avec son mètre soixante-douze, mince avec ses cinquante kilos. Sans parler de son petit cul très bandant, des fesses minces mais pleines, d’une cambrure extraordinaire, de ses hanches, de sa taille très fine, de ses jambes parfaitement galbées ou de ses seins, en bonnet C, en forme de poire. Ferme comme pas deux, défiant toutes les lois de la pesanteur en tenant droit tout seul sans le moindre petit besoin de soutien-gorge. Sans parler de son visage, Angélique, trabzon escort merveilleux. Le genre de fille qui vous fait vous retourner en la croisant dans la rue ou en tombant amoureux au premier regard.
En plus, c’est une fille d’une gentillesse dingue, toujours prête à rendre service, qui prend soin de ses proches, s’inquiète pour les gens. Elle est aussi d’une douceur extrême. Un peu naïve sur les bords. Bref, une personnalité aussi belle que son physique. Le genre de personne que tout le monde rêve de connaître, qui ne vous laissera jamais tomber, quels que soient vos problèmes. En bref, la fille parfaite comme amie ou comme petite amie.
Sa tenue est si sexy que cela en est presque un appel au viol. Pas que cela n’en montre trop, non, au contraire, cela ne montre pas grand-chose, mais cela met tout en valeur. La robe est parfaite, juste assez décolletée pour montrer la naissance des seins. Juste assez moulante pour faire comprendre à quel point son corps est parfait, envoûtant, érotique. Juste assez courte pour dévoiler de longues jambes semblant dessinées par le meilleur des artistes. Bref, la tenue « juste assez » qui vous donne une envie irrésistible de vous jeter sur elle, de la lui arracher, puis de lui faire subir tous les outrages, du premier au dernier… puis de recommencer… D’ailleurs, tous les regards masculins qui se posent sur elle ont cette lueur dans les yeux. Pour eux, elle n’est qu’un morceau de viande juste bon à servir leurs appétits sexuels. La perfection de Naira, que ce soit son corps ou son visage, fait ressortir le pire chez les mâles. Une envie folle de la prendre de gré ou de force. D’ailleurs, la plupart, qu’ils soient en couple ou seuls, vont se masturber chez eux, en pensant à elle ce soir.
Enfin, tous les hommes sauf Franck. Lui, il la regarde comme une femme, comme un être humain, comme la plus précieuse des pierres. Son regard ne quitte à aucun moment celui de Naira pour la mater. Non, Franck est le seul homme qu’elle connaisse qui ne la regarde pas comme un objet sexuel. Si, malgré ses dix-huit, elle est habituée aux regards pervers depuis qu’elle a un corps de femme, le regard normal de Franck est pratiquement une première. Seule sa famille proche la regarde comme cela.
Alors quand il lui a proposé d’aller sur les hauteurs de Cannes pour aller dans un coin tranquille avec la meilleure vue sur la ville et sa baie, Naira a dit oui tout de suite. Une envie folle de passer des heures à refaire le monde avec Franck, tout en lui roulant des pelles et lui offrant une vue splendide, a aussitôt saisie la jeune majeure. C’est avec son sourire envoûtant qu’elle a dit oui à son petit ami. Naira se jure qu’une fois arrivée, elle ne va pas le laisser l’embrasser, c’est elle qui va l’embrasser.
Franck a raison, la vue est magnifique, merveilleuse. Le jeune homme se gare, coupe le moteur. Autour, il fait nuit noire, on y voit à peine à deux pas. Mais la ville est éclairée en contrebas, à environ trois kilomètres. La mer dans la nuit est fantastique, donnant une vue d’un romantisme rare, qui étreint le cœur de la belle jeune femme. Naira est heureuse, elle n’a que dix-huit ans, mais elle a déjà trouvé son prince charmant, l’homme parfait à qui elle va se donner dans plusieurs années pour leur nuit de noces.
La voiture de Franck est un véhicule spacieux, luxueux et très cher. L’habitacle très confortable est complètement insonorisé. Naira semble être dans un cocon. Elle n’entend rien de l’extérieur, il n’y a que Franck, elle et la vue sublime. Dès que son petit ami coupe le moteur, avant qu’il ne s’installe confortablement dans le fauteuil, Naira lui saisit la joue, tourne la tête du jeune homme vers elle, l’embrasse en y mettant la langue. Franck se laisse faire, lui répondant rapidement, langues et salives se mélangent.
Naira n’a pas de soutien-gorge. Elle n’en met jamais quand elle peut éviter. Certes, sa poitrine est très conséquente, mais le soutif la gêne horriblement. Alors, quand comme ce soir, le tissu du vêtement qu’elle porte est suffisamment épais pour ne pas laisser transparaître ses tétons ou son absence de soutif, Naira s’en passe. Comme ce soir, en dessous sa robe, elle n’a qu’un petit string. Mais cela, personne ne le saura, pas même Franck. Elle a prévu un pyjama pour cette nuit, le style tue-l’amour. Elle se changera dans la salle d’eau. Franck, en plus d’avoir son pucelage, ne découvrira son corps nu que le soir de la nuit de noces. Il n’aura droit qu’à son maillot de bain, une pièce très sage à la plage.
Mais quand une main de Franck attrape son sein droit, Naira se contracte. Elle repousse la main, cesse son baiser, se recule sur son siège.
– Franck !
Il y a de la colère dans la voix de la jeune femme, dans son regard aussi.
– Pardon, Mon amour, c’est un réflexe. Je sais que ce n’est pas comme cela que je dois faire…
Naira se détend, tout le monde a droit à l’erreur, d’ailleurs, c’est la première fois que Franck agit comme tunceli escort cela.
– Excuse acceptée. Mais ne recommence plus.
La magnifique métisse approche de nouveau son visage de celui de Franck. Il met une de ses mains derrière son crâne, caresse ses longs cheveux frisés. Il sait que Naira adore cela. Avant qu’ils ne s’embrassent, il lui dit :
– Je sais aussi que c’est comme cela que je dois faire avec les filles comme toi.
La jeune majeure de dix-huit ans va lui demander ce que c’est qu’une fille comme elle. Pensant à une réponse romantique dont il a le secret, du style : une princesse parfaite, Mon amour, ou une perle transformée en femme. Quand les mains de Franck se referment sur ses cheveux. L’instant d’après, le visage de Naira frappe violemment le tableau de bord. Son nez casse au premier coup, on entend parfaitement le bruit dans l’habitacle. Le sang gicle. Il cogne sa tête de nouveau, sur le tableau de bord, deux fois de plus. La jeune femme est à moitié assommée. Elle sent à peine Franck lui déchirer le haut de sa robe, mettant ses seins lourds à l’air. Comme il l’a imaginé, ils sont gros, tiennent droit seuls. Ils ont de larges aréoles marron, à peine plus foncés que sa peau d’un mat clair. Quant à ses tétons bien ronds, ils sont bien gonflés, appelant à se faire croquer.
Faiblement sonnée, Naira, une barre rouge sur le front, stigmate du tableau de bord, du sang sortant de son nez cassé, tente faiblement de se débattre. Elle essaie de faire lâcher Franck qui la tient par la nuque. Pour totalement la calmer, le jeune homme frappe deux nouvelles fois le front de la magnifique métisse sur le tableau de bord. Pas aussi fort que les trois premiers coups, mais suffisamment pour faire cesser toute velléité de la part de la jeune femme. De sa nuque, sa main passe à la chevelure de la femelle. Il l’agrippe tandis que, de l’autre main, il ouvre sa portière. C’est en la tirant par les cheveux qu’il sort le corps sans défense de Naira de l’habitacle du véhicule. Il a du mal à la faire tenir debout, alors après avoir refermé la portière avant, il la plaque contre le véhicule, face contre le véhicule, dos à lui. Il lui arrache complètement sa robe. Dévoilant son petit cul aux fesses fermes et bombes, et une chute de reins parfaite qui fait plus que de le mettre sublimement en valeur.
Il sourit en découvrant le petit string ficelle, presque complètement caché dans la raie des fesses de la jeune femme qui ne cesse de grogner.
– Vierge jusqu’au mariage? Hein, sale pute? Et tu ne mets pas de soutif, mais par contre tu portes un string de salope!
Presque évanouit, Naira l’entend à peine. Quand il commence à descendre le string, la terreur de perdre son pucelage en se faisant violer redonne un peu de lucidité à la malheureuse.
– Je suis vierge… Ne me viole pas… Pitié… Ne me viole pas…
Tandis qu’il retire le string des chevilles de la fille avec son pied, il lui lance :
– N’aie pas peur… Je suis un violeur, pas un monstre. Je vais te violer, mais tu vas rester vierge. Tu pourras offrir ton pucelage au connard qui t’épousera.
Au début, Naira ne comprend pas trop. Franck la fait avancer, il la courbe sur le capot si chaud, que la belle majeure hurle de douleur quand le métal chauffe ses seins somptueux. S’en moquant, Franck tient la fille plaquée en la tenant par la nuque. Quand il lui caresse l’anus, Naira comprend ce qu’il voulait dire. Il ne va pas lui violer le vagin, mais l’anus. Ce qui en soit est presque aussi horrible pour la jeune fille, rien ne doit entrer par là.
Mais Naira n’a pas le temps de s’appesantir là-dessus, elle sent Franck pousser contre son petit trou. Elle lutte, contracte son anus, serre les fesses, mais rien à faire. Petit à petit, elle sent son anus céder, perdre la bataille. C’est que Franck, du haut de ses vingt ans, n’en est pas à son coup d’essai. C’est la septième fille qu’il viole. Il y a eu deux randonneuses, une joggeuse, trois filles naïves comme Naira qui ont cru aux beaux mots de Franck d’attendre le mariage pour coucher avec lui. L’argent et les amis de Papa ont fait qu’il n’a jamais été inquiété. Ce sera pareil avec elle : si la jeune femme s’avise de porter plainte, l’affaire sera étouffée, la belle brune disparaîtra pour aller faire la pute au fin fond de l’Afrique. Et là, son pucelage vaginal n’attendra pas le mariage pour sauter…
Le craquement de l’anus de Naira résonne dans la nuit noire quand Franck gagne le combat, quand il entre en elle. Il vient littéralement de lui casser le cul, sa rondelle, maintenant en trois morceaux, ne se remettra jamais vraiment. Il se met alors à l’enculer comme un sauvage, fissurant, détruisant. La jeune fille ne le sait pas encore, mais il y aura des séquelles tout le reste de sa vie. Elle ne pourra plus jamais aller à la selle sans souffrir le martyre. Quant à la sodomie… Après ce qu’elle va vivre, plus jamais elle ne pratiquera l’acte sexuel. Heureusement pour elle, uşak escort la moindre sodomie future aurait été un véritable enfer. Comme celle qu’elle vit maintenant, qui la fait hurler et hurler. Vomir s’urina dessus. La bite de Franck plongée dans les entrailles de Naira crée de la place là où il n’y en a pas, pousse des organes pour s’ouvrir le chemin. Le monstre ne s’arrête que quand son ventre frappe les fesses fermes de sa proie, que quand ses testicules frappent la vulve de la magnifique brune.
Il l’encule pour la première fois, mais il sait que ce ne sera pas la dernière : quand il en aura fini, le trou-du-cul de la pute ne se refermera jamais. Fini la petite ouverture fermée hermétiquement, à tout jamais, son anus restera ouvert… Mais pour l’instant, c’est sa destruction par la bite de Franck dont il est question. Un truc gros, trop gros pour le trou du cul vierge de la malheureuse. Une grenade lancée dans un tunnel, voilà l’effet que le chibre masculin fait dans l’orifice féminin.
Cinq, dix, quinze minutes d’une sodomie violente et ignoble. Lui faisant volontairement le plus de mal possible, les hurlements de sa chienne résonnaient à ses oreilles comme une musique douce. Voilà le sort que réserve Franck à la douce et magnifique Naira. De sa queue, il la détruit physiquement comme psychologiquement. Quand enfin il se vide en elle, sa semence brûlante comme de l’acide brûle horriblement les entrailles de la belle. Quand il se retire, un remugle dégueulasse, mélange de sperme, de sang et de merde, s’écoule comme un torrent de l’anus anéanti de la magnifique Naira. Le corps de la jeune femme glisse lentement du capot, pour se retrouver sur le sol. Ne lui laissant aucun répit, Franck la met à genoux, présentant sa queue devant la bouche de Naira.
– Suce !
Elle pleure plus fort, mais n’ouvre pas la bouche. Lui, il bande encore, il a encore envie. Il n’est pas du genre à se répéter. Au lieu de cela, il lâche les cheveux de la femelle qui s’écroule de nouveau sur le sol. Il la met sur le ventre, se couche sur elle. Avant de l’enculer une seconde fois, il lui dit :
– Tu ne veux pas me sucer, alors je t’encule. La prochaine fois, c’est dans ta chatte que je vais aller, si tu ne m’écoutes pas! Si tu ne m’obéis pas, comme la chienne que tu es! Dorénavant tu dois obéir à ton maître!
D’un violent coup de reins, il s’enfonce en elle. Achevant de détruire son trou-du-cul, finissant le travail avec ses entrailles.
Cette fois, ce sont vingt-cinq minutes d’un viol anal encore plus violent que le premier, qu’inflige Franck à sa victime. Cette fois, quand après avoir joui d’elle, il la met à genoux et présente sa bite devant ses lèvres, Naira ouvre la bouche. Pour la première fois, un chibre entre dans sa cavité buccale. Elle ne sait pas comment faire, mais Franck s’en moque. Quelques secondes après être entré, c’est la gorge de la malheureuse qu’il détruit. Ce n’est pas une fellation, mais un viol buccal. Il baise son visage, la faisant gueuler dans sa bite, à chaque fois que son ventre frappe le nez cassé de la fille.
Quand il jouit dans sa gorge, il se retire. En sifflotant, tandis que Naira, massacrée, se met en position fœtale sur le sol, il va pisser. Une fois vidé, il revient, surplombe la fille. Il est bien vidé.
– Sale putain, merci pour la baise. Je te ramène chez toi.
Naira n’a pas la force de lui répondre. Il va à sa voiture, en ouvrant le coffre. Il a tout prévu, il a plastifié l’endroit avec une toile en plastique collée aux parois du coffres. Il va relever Naira par les cheveux, la ramène à l’arrière de la voiture, la fait grimper dans le coffre, la couche dedans. Naira croasse difficilement :
– Habits…
– Les salopes qui se font enculer restent nues !
Il referme le coffre. Il laisse la robe et le string de Naira sur le sol. Il ouvre la portière, grimpe dans l’habitacle. Sur le siège, le sac de la fille dans le coffre s’y trouve. Il le prend, l’ouvre. Il fouille un peu, sort le bip du portail, les clés de la maison de la jeune majeure. Dans la boîte à gants, il prend une boîte de pilules Sexe-dure. Créé par Jonas Corporation et fabriqué et vendu par la multinationale pour laquelle travaille son père. Avec la nouvelle formule, ce sont vingt-quatre heures de baise assurées. Il en avale une.
Il prend la carte d’identité de sa victime. Entre l’adresse indiquée ci-dessus dans son GPS. Il démarre. Vingt minutes plus tard, il est garé devant la porte de la maison. Il sait qu’il n’y a personne. Naira lui a parlé de ses parents, elle lui a dit aussi que si elle ne les appelle pas, elles ne le font jamais. Il sait qu’il va être tranquille. Il va pouvoir profiter du corps de la magnifique fille de dix-huit ans qu’il vient de violer. Elle ne le sait pas encore, mais il va rester avec elle tout le week-end. Il ne part que lundi matin. Pas trop tôt, car s’il a un rendez-vous avec une autre fille, ce n’est qu’à midi. Cette fois, si c’est aussi un canon, quoique moins belle que Naira, la fille est une grosse salope. Avec elle, il n’aura pas besoin de violence pour la mettre dans son lit. C’est une fille vénale qui s’offre à vous, si vous avez de l’argent. Et de par son père, Franck en a beaucoup. Mais pour l’instant, place à la belle Naira. Il a un trou-du-cul à achever.
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